Le vol de l'Aigle - Campagne de 1809
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Le vol de l'Aigle - Campagne de 1809

Simulation de la campagne de 1809 en Autriche
 
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bertrand
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bertrand


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MessageSujet: What if ???   What if ??? Icon_minitimeDim 18 Mai - 18:38

Bien, je vais vous révéler les plans des uns et des autres.

Mais avant, je pense que la campagne était mal engagée pour les français, malgré la lenteur autrichienne et les dissenssions, notamment entre Charles et Louis. Ce dernier s'est fait reprendre de volée par le premier pour ne pas avoir suivi les ordres à la lettre. Ah, la lourdeur hiérarchique.

Le plan français était le suivant :

Le Maréchal Davout ira se positionner avec son corps d'armée ( divisions Morand, Friant, Gudin et Demont, cavalerie de Montbrun et cuirassiers de St Sulpice à l'intersection de la route de Deggendorf / Straubing / Landshut au bords de l'Isar pour empêcher le franchissement de la rivière.

St Hilaire restera protéger Ratisbonne.

Le Maréchal Lefebvre, qui aura au passage détruit le pont de Landshut avec les troupes de son génie, positionnera sont corps d'armée sur la défensive derrière la petite rivière qui longe l'Isar face à Landau. Son objectif est d'empêcher tout franchissement de la rivière et le cas échéant de soutenir Davout qui le commande directement.

tous ses mouvements devront être faits le 17 au soir car je pense que l'Autrichien sera en mesure d'atteindre l'Isar le 18 dans la journée. Il faudra profiter de l'arrivée échelonnée de ses troupes pour lui donner une bonne fessée.

Le général Oudinot placera son corps à Hohenlinden où il attendra le Maréchal Masséna. La position d'Hohenlinden protège les routes principales qui mènent à Erding, Freising, Moorsbourg et bien sur Munich. Masséna devra le rejoindre dans la journée du 19. Une fois réunis ces deux corps attendront l'arrivée du VIII° corps de Vandamme, de Lannes (qui commandera la réserve de cavalerie composée de Nansouty et d'Espagne) et de l'Etat major impérial. Si l'ennemi marche sur Munich, il sera pas avant le 21 à Hohenlinden où nous livreront bataille. Si l'ennemi remonte vers Landshut, l'armée se mettra en route pour le poursuivre et lui couper ses lignes de communication.

Le général Vandamme devra à marche forcée rejoindre par la route Abensberg / Freising / Hohenlinden rejoindre le duc de Rivoli et le II° corps du général Oudinot.


Le plan de l'Empereur était donc de placer deux corps en potence et de se servir des autres pour faucher l'armée adverse.

Plan brillant mais ... qui s'est vite heurté aux dures réalités, notamment le déploiement ennemi.

Le plan autrichien : lettre de Charles à ses généraux

Nous avons décider de tenter d'anéantir une portion de l'ennemi avantqu'il n'ait réalisé sa concentration et nous lancerons notre offensive sur Pfaffenhosen.

Les mouvements commencerons à la première heure le 16 avril. Les étapes seront de 20 km pour l'infanterie, la cavalerie ouvrira la marche et sera poussée en avant.

- Le 4ème corps de Rosenberg passera l'Isar à Munich par le pont sud et marchera sur Dachau. Il éclairera la droite de l'armée et se préparera à marcher sur Pfaffehosen dès que l'ordre lui en sera donné.

- Le 6ème corps de Hiller passera l'Isar à Munich par le pont nord et marchera le long de la route Pfaffenhosen. La division Brady du 2ème corps lui sera attaché. La cavalerie du 6ème corps passera sous les ordes de Kollowrath

- Le 1er corps de Bellegarde passera l'Isar à Freising et rejoindra la route de Munich à Pfaffenhosen pour marcher sur cette dernière localité.

- Les corps de réserve de Liechtenstein et de Kienmayer suivront le 1er corps après avoir laisser filer le 3ème corps

- L'Archiduc Louis commandera mon aile droite. Les 2ème et 3ème corps seront placés sous son autorité. Il devra assurer l'attaque sur Pfaffenhosen par l'est et couvrir l'armée contre les forces ennemies venant du nord.

- Le 3ème corps de Hohenzollern passera l'Isar à Freising à la suite du 1er corps et marchera au nord sur la route d'Abensberg.

- Le 5ème corps de l'Archiduc Louis passera l'Isar à Moosburg pour rejoindre la route d'Abensberg à Freising.

- Le 2ème corps de Kollowrath passera l'Isar à Landshut. La division Brady est détachée avec le 6ème corps. La cavalerie du 6ème corps sera sous les ordres de Kollowrath. Le corps marchera sur la route au sud d'Abensberg. La cavalerie du 6ème corps sera poussée sur la route de Kelheim.
L'objectif de Kollowrath sera d'attirer l'attetion du corps de Davout et de ralentir sa progression vers le sud -ouest. Kollowrath comprendra qu'il n'a qu'un rôle d'observation et veillera à ne pas engager son corps de manière inconsidérée.

Je marcherais avec le 3ème corps.

Chaque chef de corps entrediendra des patrouilles pour éclairer l'armée et me fera des rapports constant. Il m'informera sur la position et l'état de ses troupes et me communiquera ses intentions et les mouvements qu'il prépare.

La position de repli est l'Isar et Munich.


La suite dès demain
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marechal oudinot




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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeDim 25 Mai - 5:01

La suite, La suite, la suite Very Happy Very Happy bounce bounce bounce bounce
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Kolowrat

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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeJeu 29 Mai - 7:18

Je soutiens pour une fois le camps adverse: la suite!Very Happy Very Happy bounce bounce bounce bounce
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bertrand
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bertrand


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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeVen 30 Mai - 17:10

Episode 1 : le combat de Lefebvre

Le corps de Lefebvre, fort isolé, s'est trouvé face à quasiment toute l'armée ennemie. Sa position était plus que délicate.

Lettre de De Wrede à Lefebvre :

16 avril à 02 heures 00 :
Un aide de camp de De Wrede vient d'arriver porteur d'une missive :

"Monsieur le Maréchal
Il est minuit et je me trouve ne fâcheuse posture, puisque j'occupe Landshut, le dos à la rivière et que me fait face au moins un corps complet autrichien.
A l'heure où je vous écrits ces lignes, j'ai envoyé 2000 hommes se retrancher dans les faubourgs de la ville et j'ai donné l'ordre de repli, de l'autre côté du pont, que je laisserai intact le plus longtemps possible pour sauver le maximum de monde. Je crains cependant que si l'ennemi vient à s'apercevoir de ma manoeuvre, il ne lance une attaque brusquée, attaque à laquelle je résisterai difficilement. Ma division est donc quasiment perdue et je regrette d'avoir suivi les ordres qui m'enjoignaient de me placer dans une telle situation ; je pensais que l'Empereur était plus économe du sang de ses troupes, mais il est vrai que nous ne sommes que des bavarois ... Je prie votre altesse d'excuser le ton employé, mais j'enrage de voir mes garçons sacrifiés de cette façon, alors qu'ils auraient pu rendre de bien meilleurs services sur un champs de bataille.
Je vous dis adieu, car je resterai avec mes troupes dans les faubourgs. Je confie le commandement de ma division à mon chef d'état-major.
Je reste votre très dévoué
De Wrede"


La résistance héroïque des bavarois à la tête desquels De Wrede devait succomber, permettait à Lefebvre d'entamer un repli général vers le nord, en direction d'Abensberg.

Voici le récit de ce combat :

Le combat pour Landshut :
05 heures 30, face aux bavarois retranchés, la division Klenau se déploie en ordre de bataille, tous drapeaux déployés et tambours en tête.

Les bavarois vont se battre à 1 contre 4 ...
Profitant de la nuit, ils ont érigé des barricades dans les rues avec tout ce qu'il leur tombait sous la main : carrioles, literies, planches, poutres, etc ... Ils ont aussi transformé chaque maison en fortin. Ces préparatifs rendent la progression et les attaques difficiles, les fantassins autrichiens devant prendre chaque barricade et chaque maison une à une.
Le combat est vif et meurtrier, les autrichiens voulant punir ceux qui ont osé s'allier à l'ogre corse et les bavarois voulant défendre leurs terres contre les envahisseurs.
Bientôt, les uniformes blancs des autrichiens et bleus ciel des bavarois jonchent le sol par dizaines.
Après une heure de combat, la bourgade est à moitié entre les mains des autrichiens, mais les bavarois se sont retranchés dans les dernières maisons, notamment dans une grosse ferme fortifiée. Leurs pertes sont énormes car ils lancent contre-attaque sur contre-attaque à la baïonnette, sans souci des trous causés dans leurs rangs par les tirs des fantassins ennemis, appuyés par des pièces d'artillerie amenées à bras d'hommes dans les rues.
Après une courte accalmie, les autrichiens repartent à l'assaut, après que les canons eurent démonté les murs des maisons et de la ferme. La fin de la bataille est un véritable carnage, les bavarois, acculés, refusant de se rendre. Le Général De Wrede se met à la tête de ses derniers braves et lance une ultime charge, accueillie par un feu de salve nourri. Après ce baroud d'honneur, le bruit des combats diminue puis les armes se taisent. Le Général De Wredde, blessé, est capturé avec moins de 100 hommes, tous les autres sont morts au combat.
Les bavarois viennent de laisser 2000 hommes sur le champs de bataille, les autrichiens 500.
Ce premier engagement est un sucès autrichien.

Pour autant, le sacrifice des bavarois et de De Wrede a permis au gros des troupes ennemies de retraiter de l'autre côté de la rivière.



Sur le reste du front, tout est calme, à part pour les aides de camp qui galopent dans tous les sens.
L'armée autrichienne entame sa progression sur Münich, Freising dont le pont est intact. A Moosburg, le pont a aussi sauté, contraignant Louis et un corps de réserve à remonter le long de l'Isar en direction de Landshut. Ceci amènera à un échange plutôt vif entre Charles et Louis, le premier souhaitan que le second répare le pont de Moosburg et le second, trouvant cette option trop longue, prenant le parti de ne pas obéir aux ordres pour filer sur Landshut. Je peux vous dire que le courrier de Charles à son petit frère ne fut pas tendre ...

Davout, de son côté, partant de Ratisbonne, commence un large mouvement tournant par Straubing, imaginant pouvoir tomber sur les arrières de l'ennemi.
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeDim 8 Juin - 13:45

La journée du 16 voyait donc le corps bavarois refluer devant la poussée autrichienne sur Landshut.
Dans le même temps, l'armée autrichienne prenait Münich sans coup férir, passait l'Isar à Freising et entamait son avance plein nord.
Les axes de marche passaient par Pfaffenhofen, Au pour monter sur Abensberg et Ingolstadt.

La nuit du 16 au 17 est calme. Lefebvre poursuit sa retraite, laissant ici et là des postes d'observation, notament sur Freising, Pfaffenhofen, Mainburg d'une part, et d'autres couvrnt l'est de la carte.
Davout, quant à lui, est arrivé à Straubing, après avoir laissé St Hlaire à Ratisbonne. Ce dernier, apprenant par un courrier, la situation catastrophique de Lefebvre, prend sur lui de faire mouvement dès le 17 au matin pour prêter main forte à ce maréchal. Sa division a ordre de descendre sur Rottenburg.

Les autrichiens ont réparé le pont de Landshut et attaquent la traversée rapidement, dès les premières lueurs de l'aube du 17.

Lefebvre s'est replié sur les hauteurs derrière Rohr et derrière la rivière au nord de Siegenburg.
L'ennemi avance sur lui par deux axes et la situation risque de devenir difficile, même si les bavarois brûlent d'envie de venger De Wrede. Le rapport de force est largement en faveur de l'autrichien.
Ce dernier ne se doute pas un instant que Davout menace sérieusement ses arrières ; il progresse sur l'axe Straubing - Ettenkofen. Les patrouilles des uns et des autres finissent par se voir, permettant ainsi ax autrichiens d'apprendre la menace qui pèse sur eux à l'est.

A l'ouest, le gros de l'armée autrichienne poursuit son avance et occupe facilement Pfaffenhofen et Mainburg en force;

Oudinot débouche à l'ouest de Dachau et se heurte rapidement à des avants-postes de cavalerie légère.
Fait face à lui la divison Dedovitch du corps Rosenberg.

Le combat pour Dachau :

17 avril à 8 heures :

Où en sont les combats ?


Le dispositif autrichien est le suivant : 1000 hommes installés sur une légère hauteur, déployés en ligne, avec semble-til une petite réserve. Il semble aussi que de la cavalerie légère, au moins 2000 cavaliers, soit en retrait, prête à agir. Deux pièces légères complètent ce dispositif.

De ton côté, Tharreau a déployé ses régiments en colonnes d'assaut, avec l'un d'entre eux en avant des autres. Il apparaît que ce dernier va mener l'assaut, appuyé par les deux autres. Les cuirassiers Espagne sont derrière, en colonnes, prêts aussi à agir. Les hommes son très motivés et tous semblent penser que cette frêle ligne autrichienne ne tiendra pas longtemps.

Drapeaux déployés et musiques en tête, les bataillons du 1er régiment partent à l'attaque, pendant qu'une batterie légère pilonne la ligne ennemie.
Le reste de la division suit, de même que les gros talons.

Curieusement, les autrichiens ne répondent pas aux tirs ...

Nouvellement nommé à la tête du régiment de tête, désireux de briller et pressé d'en finir, le colonel commandant l'unité la lance à la charge un peu tôt. Ses hommes gravissent sans problème la légère hauteur mais arrivent à portée de tir légèrement en désordre. Les autrichiens lâchent alors un tir à mitraille des deux pièces d'artillerie, pendant que les fantassins vident leurs fusils. Les pertes sont assez conséquentes pour que la charge soit stoppée et qu'un léger flottement se fasse alors sentir dans les rangs, malgré les exhortations des officiers et sous-officiers. Profitant de ce répit, l'ennemi lance une colonne d'une centaine d'hommes, baïonnettes croisées, sur le régiment, lequel recule alors, gênant la progression du second qui le suivait de près. Le colonel du troisième avait, heureusement, gardé une marge de manoeuvre suffisante, qui lui permet de déployer ses hommes rapidement, de telle façon à accueillir comme il se doit l'attaque autrichienne, laquelle est parvenue à transpercer le 1er régiment, à éviter le second et à poursuivre son avance, vraisemblablement emportée par son élan. Cet élan est cassé brutalement par la décharge de mousqueterie et les rares survivants sont aussitôt fait prisonniers.
Ton divisionnaire prend alors les choses en mains, relève le colonel du 1er régiment de son commandement, redéploye sa division et lance les cuirassiers sur le flanc droit de l'ennemi. Les choses changent alors de tournure. Après une accalmie, la division, Tharreau en tête, repart au combat, les hommes étant alors très remontés ... abordée de front et tournée, la ligne ennemie recule en luttant pieds à pieds cependant. Les pertes sont importants mais elle ne lâche pas, d'autant que la cavalerie légère autrichienne charge les cuirassiers, lesquels raccompagnent les légers dans leurs lignes, les forçant ensuite à reculer en désordre. Profitant de celà, Espagne dirige une partie de ses hommes sur le flanc ennemi et lance une charge dévastatrice. Cette fois-ci, les autrichiens sont enfoncés et refluent en désordre vers Dachau, que tes hommes atteindront vers 9 heures 30

Il est 8 heures. Le combat prend fin. Tu perds 500 hommes chez Tharreau.
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Kolowrat

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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeMar 17 Juin - 16:59

La suite! La suite! La suite!bounce bounce bounce
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeDim 27 Juil - 18:02

ben, et la suite ???Sad
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeLun 6 Oct - 7:57

Toujours rien ?
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeMer 25 Fév - 7:07

allez allez, on attend !!!!! bounce bounce bounce
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitimeJeu 1 Juil - 8:50

la suuuuuuiiiiiiiiiiiiiittttttttttteeeeeeeeeeeeee please !
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MessageSujet: Re: What if ???   What if ??? Icon_minitime

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